
Valides et handicapés dans un habitat partagé
Quel est notre projet ?
A Angers, l’Association Simon de Cyrène fait construire en plein cœur de la ville une maison partagée pour faire vivre ensemble valides et handicapés. Il ne reste plus qu’à financer l’aménagement des espaces communs : cuisine, salon et salle à manger. 16 108 euros pour que les résidents puissent prendre possession des lieux !
À quoi va servir l’argent collecté ?
A Angers, l’Association Simon de Cyrène fait construire en plein cœur de la ville une maison partagée pour faire vivre ensemble valides et handicapés. Il ne reste plus qu’à financer l’aménagement des espaces communs : cuisine, salon et salle à manger. 16 108 euros pour que les résidents puissent prendre possession des lieux !
Donner pour équiper les espaces de vie commune
« On ne fait pas pour les handicapés, on fait avec eux ». Voilà résumée toute la philosophie que Simon de Cyrène met en œuvre sur chacun de ses projets. Ici, à Angers, il ne reste plus qu’à financer le mobilier pour les parties communes. C’est là l’ultime étape pour que ce projet soit 100% bouclé et que la maison puisse accueillir ses 22 résidents. Les 16 108 euros doivent permettre d’acheter et d’installer une cuisine équipée, des ustensiles de cuisine, des tables, des chaises, et des luminaires (Voir le budget détaillé)
Un habitat en cœur de ville pour insérer les handicapés
Le projet d’Angers est la seconde expérience d’habitat partagé menée par Simon de Cyrène. La première maison de ce type a vu le jour à Vanves en 2011 où vivent aujourd’hui 70 personnes ( 34 handicapés, 36 assistants et volontaires) dans un habitat partagé. Le projet d’Angers est aujourd’hui en cours de réalisation. Situé 47 rue Volney, cette maison partagée est en cœur de ville pour être connectée, insérée dans la vie de la cité. Le choix de l’emplacement est fondamental pour que les résidents soient proches des commerces et des transports. Il doit permettre aux résidents de mener des activités mais aussi que les proches et les amis puissent facilement venir leur rendre visite. Que chacun, handicapé ou valide soit un membre actif de la cité est un enjeu fondamental pour Simon de Cyrène (Lire la lettre d'un futur bénéficiaire). C’est la clé de l’insertion et du bien être des résidents que défend avec dynamisme Irène Ariaux, ambassadrice du projet, elle-même handicapée et future habitante de la maison d'Angers.
Des temps de rencontre pour apprendre à vivre ensemble
En attendant de pouvoir vivre ensemble dans ces locaux adaptés à leurs handicaps, les futurs résidents ont formé une sorte d’amicale pour apprendre à se connaître et à partager ensemble des activités. Sortie cinéma, déjeuner hebdomadaire, et même séjour au bord de la mer cet été, les futurs résidents se découvrent et reprennent goût à la vie ensemble. Pour que leur rêve d’habitat partagé devienne entièrement réalité il ne manque plus que le mobilier des espaces communs. Ils comptent sur vous.
Qui sommes-nous ?
L’association Simon de Cyrène a pour objet de créer, développer, animer, gérer des lieux de vie, d’activités ou de loisirs permettant aux personnes atteintes d’un handicap suite à un accident – de la circulation, de sport, AVC, traumatismes crâniens – de choisir et de réaliser leurs projets dans une atmosphère de soutien mutuel et de fraternité.
Des maisons à partager au cœur des villes
L’enjeu est de permettre à la personne confrontée au handicap, notamment à la suite d’un accident, d’être créatrice de sens et de lien en développant, au coeur des villes, des maisons partagées où vivent ensemble personnes handicapées et personnes valides (salariées et volontaires). Ces lieux de vie partagés sont animés par des responsables de maison qui redonnent du sens, qui accompagnent et qui permettent que chacun ait sa place dans cette vie communautaire.
Une ouverture aux autres
L’association Simon de Cyrène développe parallèlement des activités de socialisation à travers des tables d’hôtes, des ateliers d’artistes, des cinés clubs, des fêtes … qui soient des lieux où ensemble, les habitants redéveloppent le sens de la vie dans la relation gratuite à l’autre. Ces lieux de vie permettent aussi aux personnes handicapées d’accueillir les personnes seules du quartier.
Association Simon de Cyrène
- 5 place du Clos Montholon, 92240 Malakoff
- Tel : 01 82 83 27 26
- Site : www.simondecyrene.org
Etudiante en Droit à Rennes, Irène Ariaux, handicapée depuis sa naissance, espère pouvoir venir s’installer dans l’une des maisons Simon de Cyrène d’Angers en 2014. Irène est plus que jamais mobilisée pour la réussite de ce projet.
Un projet pensé avec les handicapés
Membre de Simon de Cyrène depuis presque 4 ans, Irène Ariaux défend le projet des maisons partagées construites par Simon de Cyrène à Angers depuis le début ! Dès que le projet angevin a été lancé elle a participé aux réunions qui doivent synthétiser les attentes des futurs habitants, leurs besoins, leurs envies, leurs craintes aussi. Pour que ce projet soit une réussite il doit être fait avec les bénéficiaire et non pas pour eux. Cette démarche est l’ADN de Simon de Cyrène.
« Un lieu adapté mais pas aseptisé »
« Il y a deux ans j’ai visité la maison partagée de Vanves et j’ai trouvé cela très bien fait, très bien aménagé. A aucun moment on a l’impression d’être dans un lieu hospitalié ou aseptisé. Au contraire c’est très chaleureux, on se sent vraiment chez soi ! » C’est ce qui a définitivement convaincu Irène de participer au projet d’Angers.
Accepter son handicap et l’oublier
En attendant que la maison soit sortie de terre, Irène s’investit au quotidien dans l’association. Depuis 2010 elle est responsable d’un groupe de compagnonnage : une fois par mois elle organise une activité – sortie, cinéma, repas, etc. – qui mêle valides et handicapés. Ces liens d’amitié très forts qui se tissent lors de ces rencontres sont extrêmement importants pour Irène. Elle explique que « ce n’est pas parce qu’on est handicapé qu’on est à l’aise avec les autres handicapés. Partager des moments de rencontre avec d’autres comme nous permet d’accepter son propre handicap mais aussi de l’oublier. »
Besoin d’être entourés
« Etre ambassadrice du projet des maisons partagées d’Angers, pour moi c’est défendre les valeurs de Simon de Cyrène. C’est rappeler qu’un handicapé peut servir à quelque chose à condition d’être accompagné de valides. Il faut bien comprendre qu’un handicapé a encore plus besoin qu’un valide d’être entouré et d’avoir des amis ! ». Pour réussir ce pari du « vivre ensemble », Irène se mobilise et mobilise tous ces amis pour que cette campagne soit un succès et qu’en 2014 ils s’installent tous dans les maisons partagées d’Angers.
27/03/2017
Irène, une ambassadrice de choc récompensée du prix Géodis !
C’est une autre femme de choc, la navigatrice Maud Fontenoy, qui a remis à Irène Ariaux, ambassadrice du projet des maisons partagées d’Angers de Simon de Cyrène, le prix de la Fondation Géodis le 14 novembre dernier au Collège des Bernardins.
Récompensée dans la catégorie « Créer et se dépasser », Irène a été mise à l’honneur pour son action depuis 3 ans auprès du groupe de compagnonnage d’Angers. Un cercle d’amis qu’elle anime et qui rassemble valides et handicapées autour d’activités partagées.
La Fondation Geodis qui s’engage contre toutes les formes d’exclusion, soutien des projets portés par des personnes handicapées et qui contribuent à leur autonomie sociale, économique et à leur réussite. A l’occasion de la remise des prix de cette 5ème édition, Alain Picard, Président de Geodis et Président de la Fondation Geodis, s’est félicité que la fondation récompense « huit beaux projets portés par des personnes exemplaires et passionnées ».
27/03/2017
Philippe Pozzo di Borgo, un parrain « Intouchable »
Président d’honneur de Simon de Cyrène, Philippe Pozzo di Borgo, qui a inspiré le personnage principal du film Intouchables, est engagé aux côtés de l’association depuis presque 20 ans. Pour lui, le projet de la Maison d’Angers qui va faire vivre ensemble valides et handicapés est un pas de plus vers « l’acceptation de l’extrême fragilité par notre société ».
Comment vous êtes vous retrouvé investi auprès de Simon de Cyrène ?
P. PdB. : Il y a 19 ans en sortant de rééducation à l’hôpital, après mon accident, j’ai participé à l’émission de Jean-Marie Cavada La Marche du siècle. Cette émission a marqué une femme, Marie-Hélène Mathieu, fondatrice avec Jean Vanier de l’Office Chrétien des Handicapés (OCH). C’est elle qui m’a branché auprès de Simon de Cyrène. Aujourd’hui c’est Laurent de Cherisey qui s’occupe de l’association. Le concept de Simon de Cyrène qui a été inspiré par Jean Vanier, fondateur de l’Arche ( Ndlr : communauté qui font vivre ensemble des personnes déficientes mentales et des personnes qui ont choisi de les accompagner ) me paraît très pertinent pour la société et pas seulement pour les handicapés.
Vous avez dû être très sollicité après le succès d’Intouchables. Qu’est-ce qui vous a séduit dans le projet Simon de Cyrène que vous n’aviez pas trouvé ailleurs ?
P. PdB. : Par fidélité et amitié pour Marie-Hélène Mathieu et Jean Vanier, qui sont de grandes personnalités du don et de l’engagement, je suis resté aux côtés de Simon de Cyrène.
Ce que j’ai demandé lorsqu’Eric Toledano et Olivier Nakache, les réalisateurs, sont venus me voir pour faire le film c’est un geste pour Simon de Cyrène. Le succès du film a permis à l’association de gagner de la notoriété et de la visibilité.
Je suis aussi parrain de nombreuses actions caritatives et je me suis investi auprès de la recherche. Mais je ne me suis pas trop dispersé pour rester efficace !
En quoi l’action de Simon de Cyrène vous semble particulièrement adaptée au problème du handicap pour les accidentés de la vie ?
P. PdB. : La première chose c’est que les projets de maisons partagées portés par Simon de Cyrène mettent au coeur des villes un foyer où il y a des gens très abimés, très différents, parfois même déroutants. Et ils vivent là de manière très épanouissante avec des gens valides.
Ce mélange est très porteur pour notre société bien malade. Je dis aux gens d’aller voir de vrais grands handicapés comme il y en chez Simon de Cyrène. En face de personnes que vous ne comprenez pas, avec qui vous ne pouvez parfois pas communiquer, il est normal dans un premier temps d’être impressionné. Même pour moi, parfois c’est compliqué car le grand handicap est très impressionnant.
Il faut s’habituer à se confronter à cette grande différence. Cela aiderait notre société à voir davantage la beauté, à respecter ce que l’ont croit être l’anormalité. Cette extrême fragilité ne doit pas être cachée, il faut la regarder en face.
27/03/2017
1ère pierre des maisons d'Angers : le rêve se concrétise
C’est parti ! Le 4 décembre c’est toute la communauté Simon de Cyrène d’Anjou mais aussi des élus, des mécènes, des architectes, des acteurs du médico-social et un évêque … soit près de 180 personnes qui étaient réunies pour la pose symbolique de la première pierre des maisons partagées d’Angers.
Un moment fort pour les futurs résidents
A 11 heures précises, ils étaient tous là. Ceux qui ont imaginé le projet, ceux qui l’ont réfléchi, ceux qui vont y vivre, ceux qui l’ont financé, ceux qui l’ont soutenu, ceux qui l’ont espéré. Près de 180 personnes heureuses que ce projet innovant voit le jour. La pose de la première pierre des maisons partagées d’Angers est un événement très fort pour les compagnons Simon de Cyrène, c’est-à-dire celles et ceux qui seront les futurs résidents de ces maisons qui devraient voir vivre ensemble, d’ici fin 2014, valides et handicapés sous le même toit.
Changer de regard sur le handicap
Elus, compagnons, représentants de Simon de Cyrène se sont relayés au micro pour dire chacun à leur façon à quel point ce projet est important pour les bénéficiaires mais aussi pour la société tout entière. L’Evêque d’Angers, Monseigneur Delmas a souligné que ce « projet peut être un signe fort pour tous nos concitoyens, les invitant à modifier leur regard et à agir pour que les personnes en situation de fragilité soient au centre de l’attention sociale et politique. »
Des maisons conçues par et pour les résidents
La rue Volnay, dans le centre d’Angers, va donc changer de visage dans les mois à venir. Les 22 futurs résidents ont hâte de voir leurs maisons s’élever et de pouvoir commencer les premiers séjours de tests pour finaliser leur souhait de vivre ensemble. Ils ont aussi hâte de vivre dans ce lieu conçu non seulement pour eux mais avec eux. Pour Angelo, l’un des compagnons Simon de Cyrène d’Angers, la vie partagée dans ces maisons est « un remède à la crise de notre société. Elle propose de se tourner vers l’autre, de s’ouvrir vers l’extérieur, d’entretenir des bons liens de voisinage, d’accepter que la fragilité côtoie nos vies, de revenir vers l’essentiel qui dort en chaque homme : elle nous permet de créer des liens d’amitié. »
27/03/2017
Début de chantier en fanfare pour ce projet innovant
Depuis la pose de la première pierre le 4 décembre, le chantier pour les maisons partagées d’Angers est passé à la vitesse supérieure ! Creusement de tranchées, abattage d’arbres … pour l’instant les tracteurs s’affairent à déblayer et creuser avant de pouvoir se lancer dans les fondations. Un chantier suivi de près par l’architecte en charge du projet, Jérôme de Crozé, du cabinet Rolland qui nous raconte cette aventure particulière aux côtés de Simon de Cyrène.
En quoi ce projet de maisons partagées est-il pour vous une aventure innovante ?
Je ne vais pas beaucoup vous parler de caractéristiques du projet, je voudrais juste dire une chose, la plupart du temps, lorsque l’on construit, quelque soit le bâtiment que l’on conçoit, que ce soit du logement social, un logement pour un promoteur, un bien qui sera ensuite vendu, on ne connait pas les utilisateurs. Et on ne connait pas les personnes qui vont habiter et occuper le lieu. Et ce genre de projets on ne l’a, ce genre de relations, on ne l’a que lorsque l’on fait une maison particulière, pour un maître d’ouvrage particulier.
La particularité du projet Simon de Cyrène, c’est cela, c’est un projet dans lequel on connait, on rencontre, et on a vu les utilisateurs. Du coup, ce n’est pas un projet pour une personne imaginée, mais bien un projet pour une personne réelle. Et je pense que cela fait toute la différence, dans l’implication que nous, architectes, nous pouvons avoir dans le projet.
Pour ces maisons partagées, on s’est rencontré à de multiples reprises, on a beaucoup discuté du projet. C’est une particularité forte .
Une précision : aujourd’hui, on construit souvent du logement social plus ou moins social, pour des gens qui ont des difficultés, ou du logement normal pour des personnes qui vont les acheter, des investisseurs. On a souvent tendance à catégoriser chacun de nos projets. Le projet Simon de Cyrène n’est pas pour une catégorie mais pour des personnes qui souffrent d’un handicap, mais également pour des personnes qui vont les accompagner et vivre dans ce lieu.
L’idée de ce projet, c’est de faire vivre ensemble des personnes qui sont différentes, qui ont des parcours différents, des capacités, des handicaps différents. C’est un lieu de vie !
Ce bâtiment est accessible au handicap, répondant aux normes 2005 sur l’accessibilité. La relation particulière que vous avez tissée avec les futurs résidents Simon de Cyrène va-t-elle apporter un petit « plus » dans la réalisation de ce projet ?
Au-delà de la règlementation, au-delà de son implantation, ce qui transpiré dans la relation que l’on a eu avec Simon de Cyrène, c’est de bâtir une maison de manière à ce que chacun puisse s’identifier au lieu qu’il va habiter. Idée de communauté résidentielle de personnes diverses qui vont habiter dans un même lieu.
Dans le projet, on a imaginé une volumétrie qui soit fractionnée en 3 ou 4 parties, avec des dessins de toiture qui dessine une silhouette et un rythme de façade. Chaque silhouette permettra à chaque résident de se reconnaitre dans chaque silhouette, dans chaque maisonnée.
Comment sera implanté le bâtiment sur le terrain ?
Le bâtiment sera orienté au fond de ce terrain, orienté vers le sud, toutes les ouvertures et toutes les pièces sont orientées au sud et elles s’articuleront autour d’un jardin central et ainsi préserver un cœur : un jardin dans lequel se retrouveront les résidents, assistants et les étudiants du foyer de résidents qui habitent déjà là.
27/03/2017
Grâce à vous, ce grand projet à Angers voit le jour !
François de Montferrand, président de Simon de Cyrène Anjou, prend la parole pour remercier les petites pierres.
" Merci à tous les donateurs qui ont soutenu nos projets de maisons partagées Simon de Cyrène à Angers sur lespetitespierres.org ! Votre aide est précieuse et nous a permis de lancer les travaux puisque nous avons bien reçu les fonds.
Comme en attestent la photo, pelleteuses, grues, engins de chantier sont à pied d’œuvre pour la construction de notre première maison qui devrait ouvrir ses portes cet hiver ! Nous en sommes au stade des fondations, mais très bientôt, les murs sortiront de terre. Patience…
Notre maison Simon de Cyrène accueillera six personnes en situation de handicap et cinq valides qui vivront ensemble sous le même toit, et partageront leur quotidien…
Grâce à vous tous, les choses avancent, et avancent bien !
Merci !"
François de Montferrand, président de Simon de Cyrène Anjou.
27/03/2017
Ensemble, nous sommes Simon de Cyrène
Un week-end fondateur…
Les projets de Maisons Partagés Simon de Cyrène capitalisent sur l’expérience des premiers lieux de vie de Vanves. Aujourd’hui, la fédération Simon de Cyrène est composée d’une dizaine de groupes en France : certains se connaissent déjà, d’autres non. Mais tous retrouvent un goût à la vie dans la relation fraternelle et gratuite (rencontres de « Compagnons », lieux de vie existants…).
L’idée d’organiser un évènement qui permette à chacun de se rencontrer, de se connaitre est devenue réalité les 6 et 7 juin pour les différents projets et groupes de Compagnons Simon de Cyrène.
Pour partager « simplement» la manière dont a été vécue cette « Fête de Famille », découvrez un court film de 3 minutes, qui vous permettra de vivre ou revivre ce qui s’est vécu lors de la soirée participative du samedi 6 juin. Cette soirée a été préparée par les 260 participants, quelques heures plus tôt, lors d’ateliers : Flashmob, danse, théâtre et mime, chant….
Retrouvez également quelques témoignages (ici) recueillis durant le week-end : ils illustrent la rencontre…et les rencontres entre les différents groupes, cela a permis à tous de donner un sens à ce temps fort fédéral. Des binômes, représentants de chaque groupe, ont co-organisé cet évènement avec la Fédération et avaient choisi comme « signature » du week-end : «Ensemble, nous sommes Simon de Cyrène ».
Encore un grand merci à vous tous pour votre soutien. Merci de nous aider à favoriser ces rencontres, à bâtir ces lieux où, ENSEMBLE, NOUS SOMMES SIMON DE CYRENE !
27/03/2017
La maison partagée d’Angers : une maison où l’on vit de beaux moments…
A Angers, dans la maison partagée Simon de Cyrène, les résidents handicapés et valides tissent des liens, des relations amicales et fraternelles et surtout partagent des beaux moments de vie grâce à vous !
En effet, au quotidien, la joie de vivre est présente dans cette maison et vous avez participé à ce succès en permettant d’équiper la maison pour que chaque résident puisse s’y sentir bien.
La cuisine et le salon commun permettent aux habitants de la maison de vivre ensemble dans un beau cadre de vie. Les personnes handicapées sont accompagnées par des assistants pour les aider dans leur quotidien, dans les démarches administratives, pour le suivi médical, mais aussi pour les accompagner dans leur vie sociale, leur permettre de s’ouvrir sur l’extérieur et pour nouer des relations avec les autres.
Avec cette colocation solidaire, chacun s’enrichit mutuellement et s’ouvre aux autres…
Merci pour votre générosité et votre soutien ! Vous avez tous été une petite pierre en permettant de réaliser ce beau projet !

Ariaux Irène
De l'association Simon de Cyrène
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