Durant cette période particulièrement difficile pour les femmes seules et en situation de grande précarité, IKAMBERE (qui signifie « maison accueillante » en Kinyarwanda) accueille des femmes vivant avec le VIH, qui vivent dans la grande précarité en banlieue Parisienne. Avant d’arriver à IKAMBERE, la plupart d’entre elles sont sans domicile fixe et sont hébergées par des proches ou le 115. Pour les plus fragilisées par la maladie, IKAMBERE a développé une offre d’appartements passerelles pour les héberger pendant quelques mois. Habituellement, les femmes participent au loyer. Aux vues de la situation actuelle cela n’est plus possible. Comme les structures d’hébergements d’urgence sont débordées, IKAMBERE loge également 10 femmes dans un hôtel pendant une période de deux mois.
Afin de permettre à ces femmes d’avoir un temps de répit, un toit, un chez soi (jusqu’à la fin du confinement) nous avons besoin de vos dons pour payer les nuitées d’hôtel et les loyers des appartements. Nous comptons sur votre générosité La plateforme de crowndfunding Les petites Pierres abonde les dons que vous faites : Un don de 10 euros, c’est finalement 20 euros reversés au projet IKAMBERE.
Héberger les femmes migrantes séropositives qui cumulent les vulnérabilités.
Les femmes migrantes vivant avec le VIH cumulent de nombreuses vulnérabilités sociales et financières qui s’aggravent considérablement avec l’absence de logement. Sans logement ces femmes sont souvent condamnées à errer dans les dispositifs d’hébergement d’urgence (115), à être hébergées par des proches, ou dans le pire des cas à rester sans domicile fixe, de squats en squats. La précarité de tels hébergements, la promiscuité qui accompagne l’hébergement collectif, la forte insécurité qui touche l’intégrité physique des femmes vivant dans la rue, sont autant de facteurs qui rendent la situation des femmes migrantes séropositives particulièrement problématiques.
La question du logement et un problème majeur car elles préoccupent les femmes à tel point que cela peut nuire gravement à l’observance thérapeutique, avec le risque de voir les traitements devenir inopérants.
L’association IKAMBERE loue 5 appartements passerelles (10 places) dans le centre de Saint-Denis. Une commission composée d’assistantes sociale de l’association et d’autres partenaires externes, est chargée d’identifier les femmes pouvant intégrer les appartements (le critère de l’état de santé est le plus privilégié). IKAMBERE tient compte de la précarisation des femmes infectées par le VIH.
Aider, accompagner, sécuriser face à l’urgence
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