
Maison relais : autonome, mais pas seul
Quel est notre projet ?
A Bordeaux, Les Petites Pierres vous présentent et souhaitent aider à concrétiser une solution de logement pour des personnes et des familles en situation de très grande précarité: la maisons relais.
À quoi va servir l’argent collecté ?
A Bordeaux, Les petites pierres vous présentent et souhaitent aider à concrétiser une solution de logement pour des personnes et des familles en situation de très grande précarité: les maisons relais. Un projet concret, lancé symboliquement sur Les petites pierres lors de la journée de mobilisation pour "le mieux logement", organisée par la Fondation "I Loge You" le 8 novembre à Bordeaux.
Promouvoir l’autonomie dans le logement
Située au centre de Bordeaux, ce dispositif de logements adaptés appelé “ Maison Relais” ouvrira ses portes dès Février 2015 pour accueillir 25 personnes, 16 familles. Des personnes qui se sont retrouvées, à la suite d'un accident de la vie ou de problèmes psychologiques, dans une situation d'isolement et de fragilité qui a rendu impossible leur accès à un logement ordinaire. Un projet mis en place par l’association COS, propriétaire de ce bâtiment à rénover dans une logique d’accueil et d’accompagnement dans de bonnes conditions.
Aidons cette solution efficace, en apportant notre soutien. La maison relais est une structure de « logement » dans une logique d’habitat durable. Les personnes qui y seront admises seront locataire d’un des 16 appartements. Une manière d’occuper un logement sans limite de durée. Ils sont enfin chez eux, c’est un nouveau départ, une nouvelle vie. C’est pourquoi un projet d’accompagnement est mis en place : Promouvoir l’autonomie dans le logement. Pour l’association COS, il est impératif d’accompagner la prise de logement en maison relais, car le « savoir habiter en logement » n’est pas toujours acquis.
Une maison solidaire
La maison vise à offrir un cadre sécurisant. Bien intégrée dans l’environnement local, elle combine appartements privés et espaces de vie collective : une configuration qui assure à ses habitants le respect de leur intimité mais aussi des possibilités de rencontres et d’activités pour restaurer la confiance en soi.
Grâce aux espaces communs, une dynamique collective se créée, propice au bien être. La maison devient un lieu de rencontre, un lieu de vie pour les locataires. Il manque 6670 € pour aménager les parties communes ainsi que les appartements privés. Il est important de mettre les personnes accueillies dans des conditions correctes, et ceci passe par les achats et équipements mentionnés dans l'onglet "budget". La maison se veut également d'être un lieu d’accueil pour le voisinage, c'est un lieu ouvert, propice au lien social. (voir le témoignage)
Une gestion responsable
« Les personnes qui sont orientées vers la maison relais viennent en général de foyers d’hébergement d’urgence, mais aussi de la rue. Elles ont en moyenne 50 ans. Ce sont elles qui formulent une demande d’accès à la maison relais par l’intermédiaire des services sociaux. Les demandes sont étudiées et l'association vérifie qu’elles répondent bien aux critères d’admission qui reposent essentiellement sur une difficulté d’accès à un logement stable et un parcours social difficile, mais avec une réelle motivation pour accéder à un logement autonome. "Toutes les personnes et familles que nous accueillons comme locataires dans notre maison relais ont la volonté de réapprendre à vivre durablement dans un logement et à recréer des liens sociaux." souligne Philippe Ellias, Directeur de la maison relais COS à Bordeaux, et ambassadeur du projet.
L’aménagement est un moment clé pour chaque personne, encore plus pour des personnes fragilisées par la vie. C’est pourquoi, l’association COS met en place le projet Promouvoir l’autonomie dans le logement. Accompagner les personnes dans la prise de leur logement pour faciliter, favoriser leur mieux être dans les lieux et garantir le maintien dans le logement. Par gestion responsable, il s'agit de la bonne utilisation du logement et de son équipement ainsi que l’environnement et une bonne maitrise du budget locatif. Il s’agit de travailler avec ces personnes sur leur « savoir habiter » et « savoir vivre » dans leur logement. Comme un apprentissage professionnel, le projet consiste à préparer l’arrivée, accompagner l’installation, accompagner l’organisation de la vie quotidienne sur les aspects hygiène, sanitaire et entretien du logement, créer des outils (guide du locataire). L’ensemble de ces actions seront mises en œuvre par un intervenant social qualifié.
A nous d’apporter notre petite pierre pour la réalisation de ce beau projet bordelais !
Qui sommes-nous ?
Le COS, une association née de la Résistance Créée par l’Abbé Alexandre Glasberg, l’association COS s’est développée depuis l’après guerre autour d’une ambition majeure : contribuer à l’autonomie de la personne. Retour sur presque 70 ans d’histoire.
L'autonomie au coeur de l'association
La création de l’association COS a été le fruit de l’engagement d’un homme, l’Abbé Glasberg, et d’une équipe, à un moment crucial de notre histoire : la Résistance. Prêtre catholique d’origine juive, Alexandre Glasberg a consacré sa vie à servir un objectif principal : sauver et reclasser les réprouvés et les sans-patrie. Une approche globale de la personne avant tout. En 1944, la création du COSE (Centre d’orientation sociale des étrangers, rebaptisé COS au début des années soixante) vise un objectif particulièrement précurseur :
- Permettre au sortir de la seconde guerre mondiale, à tous les déplacés, à tous les réfugiés des camps, de maintenir ou récupérer leur autonomie, notamment par la réinsertion professionnelle et sociale ; - - - Mettre en œuvre un hébergement permettant aux plus âgés de finir leur vie dans la sécurité et la dignité.
Au fil du temps, l’association COS a élargi ses activités, tout en gardant son premier objectif : l’autonomie de la personne. Après l’accueil et l’accompagnement des réfugiés et des personnes âgées, ses équipes ont su développer des savoir-faire reconnus dans le domaine de la rééducation fonctionnelle, notamment des personnes cérébrolésées, de la formation et de l’insertion des personnes handicapées.
Les dates clés du COS
7 décembre 1944 : création de l’association « Services des Étrangers » 26 novembre 1946 : l’association « Services des Étrangers » devient le Centre d’orientation sociale des étrangers (COSE)
1947-1952 : création de 4 centres de formation
21 septembre 1960 : le COSE devient le Centre d’orientation sociale (COS)
1971 : le COS soutient la création de l’association France Terre d’Asile, Alexandre Glasberg en est le cofondateur.
2009 : le COS réaffirme son identité, le COS « créateur de lien social ».
Association COS
- 88-90 Boulevard de Sébastopol
- 75003 PARIS
- Tél : 01 42 60 13 22
- Fax : 01 49 27 06 97
- http://www.cos-asso.org
Je me nomme Philippe ELLIAS, j’ai 50 ans et je suis investi depuis plus de 30 ans, sur Bordeaux, dans l’action sociale dédiée à l’accompagnement d’adultes et de mineurs en situation de précarité.
Quel est votre rapport avec l’association ?
Je suis directeur des centres d’accueil et d’hébergement de l’association COS pour personnes en situation d’exclusion et demandeurs d’asile dans la région aquitaine, et en particulier de la maison relais.
Qu’est –ce qu’une maison relais ?
C’est une résidence composée de logements attribués à des personnes en situation de grande précarité et à très faibles loyers.
C’est aussi, par sa vocation sociale, un lieu d’accompagnement de ces personnes dans leur vie quotidienne sur les questions de santé, de soutien à la gestion locative … et un lieu de socialisation par la mise à leur disposition d’espaces collectifs partagés.
Quelles ont été vos actions dans ce projet de création de maison relais?
J’ai monté l’ensemble du projet de la maison relais. C’est une expérience passionnante car elle traite en même temps des questions architecturales, sociales et budgétaires, pour la réussite du projet
Pourquoi est-ce important pour vous de soutenir ce projet ?
Soutenir ce projet c’est agir directement sur la qualité de vie des personnes qui seront locataires de ces logements. Vous savez, bien souvent les situations de ruptures familiales, sociales et professionnelles détruisent l’estime de soi, ne leur donnent pas envie d’investir dans leur logement et rend difficile la gestion quotidienne de ce dernier.
Qu’est-ce que ce projet va changer/améliorer dans la vie des bénéficiaires?
Justement, en soutenant ce projet nous donnerons aux personnes la possibilité de vivre et de gérer différemment cette situation. Avant tout en leur proposant de préparer leur installation en choisissant eux même leur mobilier, la compréhension du fonctionnement du logement, la connaissance des droits et obligations.
Mais aussi en travaillant avec eux sur la personnalisation de leur logement par l’achat d’objet de décoration, des plantes, des tissus d’ameublement …
L’important pour nous c’est que les bénéficiaires se sentent bien de sorte que leur entrée dans ce logement ne soit pas de nouveau un échec, mais enfin leur chez soi !
Le COS a construit un projet architectural de belle qualité privilégiant le confort, la modernité, l’accessibilité, mais aussi la convivialité…
En soutenant ce projet nous participons à donner à chaque logement une « âme ».
27/03/2017
Reprendre confiance en soi grâce à la Maison relais de Bordeaux
Virgine, résidente de la première maison relais de l’association COS nous raconte son parcours. Comment est-elle arrivée ici ? Comment s'est-elle reconstruit ? Comment cette femme complètement isolée à retrouver gout à la vie ? La Maison-Relais offre chaleur et convivialité à ses résidents dans un cadre semi-individuel et semi-collectif. Ceux-ci sont logés dans des appartements individuels privatifs tout en bénéficiant d’un cadre collectif animé par des hôtes et un accompagnement social individualisé.
« En décembre 2010, après 20 ans passés dans la rue, je suis arrivée à la maison relais de l’association COS. J’avais 51 ans, une suite de pertes brutales et de ruptures m’avait fait peu à peu basculer dans l’errance et la grande précarité. Malgré l’aide du Samu social, je n’avais jamais réussi à retrouver un logement.
J’ai été prise en charge par le COS, et je suis aujourd’hui logée dans un petit appartement de la maison relais. L’équipe m’accompagne dans mes démarches administratives. Elle m’a permis d’avoir accès au RSA. J’ai réappris petit à petit à dormir dans un lit, à me doucher, à partager mes repas avec les autres résidents. J’arrive maintenant à participer à des activités qui m’aident à retisser des liens avec d’autres personnes, à me sentir utile et à reprendre confiance en moi ».
Virginie
27/03/2017
Le chantier avance !
Jean-Marc vous présente son futur appartement.
Aujourd’hui SDF (sans domicile fixe), Jean-Marc sera dans quelques mois l’un des locataires de la maison relais. Il s’installera dans ce studio. Il sera chez lui et pourra y rester aussi longtemps qu’il le voudra. Il pourra ainsi se reconstruire progressivement après plusieurs années d’errance et d’exclusion. Très régulièrement il vient donc suivre le déroulement des travaux, et le chantier avance !
Grâce à votre soutien, des personnes en grandes difficultés pourront se reconstruire au sein d’un habitat stable et sécurisant et réapprendre à vivre en société dont Jean Marc.
Mobilisons-nous et offrez de la solidarité à l'association COS pour financer la maison relais.
27/03/2017
Plus 18 jours et 338 euros à récolter !
Philippe Ellias, directeur de la future maison relais répond aux questions des petites pierres. Il nous raconte ce qu'il s'est passé pendant les deux premiers mois de campagne et où en sont les travaux. Plus que quelques semaines avant l'arrivée des premiers résidents. Il reste 338 euros à financer pour aider à équiper la maison relais. A vous de jouer !
Les Petites Pierres : Après 2 mois de parution sur notre site, où en est le projet ?
Philippe ELLIAS : Aujourd’hui la maison relais est bien plus qu’un projet car nous voyons approcher à grands pas la date d’ouverture qui est fixée au 1er mars 2015 ! Autant vous dire que les équipes s’affairent sur le chantier, où les travaux de peinture, la pose des sols et le carrelage sont déjà bien avancés. Par ailleurs, et c’est pour nous un grand plaisir, les premiers futurs résidents sont déjà retenus, nous engageons avec eux la recherche du mobilier et nous commençons à prévoir la décoration de leur appartement.
Les Petites Pierres : Ils sont impatients d’arriver je suppose ?
PE : oui en effet, c’est compliqué pour eux d’être dans attente mais justement nous utilisons ce temps pour prévoir leur arrivée, nous visitons les appartements, commençons à imaginer l’aménagement. C’est finalement une manière très personnalisée de faire connaissance et nous essayons de créer un espace personnel. Parfois ce n’est pas simple, car les personnes ne sont pas toujours habituées à ce que l’on prenne soin d’elles.
LPP : Quelle est la prochaine étape ?
PE : nous allons recruter un travailleur social afin d’assurer un accueil de qualité au moment de l’arrivée des personnes. Nous passons commande du matériel pour être fin prêts au moment des premières entrées dans la structure. Finalement, il ne reste plus que quelques semaines !!
LPP : Quelques mots sur les premiers locataires ?
PE : Nous avons déjà 6 personnes isolées qui auront ainsi accès à un lieu d’habitation, une maman avec ses deux enfants qui vont retrouver un logement et un couple qui vit dans des conditions d’hébergement très précaire. Et nous sommes très contents pour eux de voir que grâce aux généreux donateurs des Petites Pierres, le budget de notre maison relais va très bientôt être atteint !
27/03/2017
Merci ! C'est grâce à vous
Grâce à vous petites pierres, le projet de la Maison Relais a pu aboutir. Votre mobilisation, votre aide, votre générosité a permis d'offrir des logements aux SDF. Merci ! Voici un appartement terminé prêt à recevoir !
"La construction de notre maison relais vient de s’achever et les premiers meubles viennent d’être installés. D’ici quelques jours, toutes les pièces seront meublées et l’équipe prête à accueillir les premiers résidents. C’est en effet pour le lundi 9 mars que l’ouverture officielle est prévue et les futurs habitants sont impatients d’entrer dans leur nouvel appartement ! "
L'équipe de l'association COS
27/03/2017
Des nouvelles de la maison relais Quancard de Bordeaux
La nouvelle maison relais COS Quancard, située dans le centre de Bordeaux, a ouvert et accueilli ses premiers résidents, des personnes et des familles en situation de très grande précarité, en février 2015.
Toutes ces personnes ont connu des parcours de vie chaotiques semés de ruptures tant sur le plan social que familial. Ces résidents sont souvent en prise avec des problématiques anciennes et plus ou moins pacifiées concernant la santé psychique, physique et leur mode de relation aux autres. Avoir un logement en maison relais permet aux résidents de recréer du lien avec leur famille (enfants, parents, famille élargie…), voire de retrouver un droit de visite jusqu’alors impossible par le manque de résidence stable.
Les maisons relais sont une réponse adaptée à des personnes qui, sans ce dispositif, ne pourraient pas accéder à un logement autonome. Offrir un logement à ces personnes, qui ont toutes un parcours chaotique fait de ruptures familiales et sociales successives, est une véritable opportunité individuelle. Parce que cet accès à un logement autonome n’est pas simple, dans la mesure où il renvoie les personnes à leurs difficultés et à leurs craintes de la solitude, la maison relais a aussi un rôle de lien social et met à la disposition de ses résidents un espace de parole permanent.
Dans ce projet architectural, les logements sont de qualité avec une organisation optimale de l’espace et un choix de couleurs contemporains. Les espaces communs ont été organisés pour favoriser la qualité des relations sociales entre les locataires. L’objectif étant de contribuer à ce que les personnes reçues retrouvent « l’estime de soi » et de créer un contexte favorable à un parcours locatif stable et durable qui permette la création de lien social.
Les personnes qui sont admises dans les maisons relais sont locataires d’un appartement, et peuvent occuper normalement le logement sans limite de durée. Les équipes professionnelles des maisons relais ne sont présentes que dans un rôle de lien entre les locataires et leur environnement, et d’accompagnement dans les démarches individuelles. Or, dans 95% des cas, les personnes admises en maison relais n’ont pas connu de parcours locatif stable et la plupart du temps, celui-ci s’est majoritairement soldé par une expulsion locative. De ce fait les codes, les usages liés au « savoir habiter en logement » ne sont pas acquis. Il était donc impératif d’accompagner la prise de logement dans cette nouvelle maison relais, de manière à éviter une nouvelle rupture locative.
Cet accompagnement a nécessité un temps conséquent et des moyens dédiés : pendant la préparation de l’installation des personnes dans leur logement, au moment de leur arrivée et dans les 6 premiers mois de la prise de possession du logement.
Témoignages
« J’ai 52 ans, et avant d’arriver à la maison relais, j’ai vécu entre la rue, les foyers d’urgence, parfois chez des amis… pendant près de 20 ans. Ma santé s’est tellement dégradée avec cette vie qu’il devenait urgent pour moi de trouver un hébergement stable, pour pouvoir me soigner correctement, je ne supportais plus la rue, trop de violence, la solitude…
Une assistante sociale m’a aidé à régler ma situation administrative et j’ai pu bénéficier du RSA. Elle m’a aussi parlé de la possibilité d’accéder à un logement dans une maison relais. Vous ne pouvez pas imaginer mon bonheur lorsque, les démarches faites, j’ai appris que je pourrai entrer dans quelques mois dans mon appartement : enfin un chez moi.
Je pourrai y rester aussi longtemps que je veux et inviter mes enfants à venir me voir, et j’aimerais partager avec les autres locataires des moments sympathiques dans les salles communes. Je ne dis pas que la vie est facile mais à la maison relais, je paierai 64 € par mois pour un logement de 22 m2, et sans cela je n’aurais jamais pu accéder à un logement classique. »
Hervé*
« J’ai 43 ans. Pendant 18 ans, j’ai vécu avec mes filles et leur papa mais il était très violent avec nous trois. Nous avons été expulsés de notre logement puis accueillis dans un centre d’hébergement et de réinsertion sociale de Bordeaux. Là j’ai réussi à quitter mon mari, mais je me suis retrouvée à vivre dans la rue et mes filles ont été placées en famille d’accueil par le Juge des enfants parce que leur père les maltraitait et que je n’avais pas de logement pour les accueillir.
Mes filles ont 6 ans et 14 ans et grâce à l’équipe de la maison relais j’ai un logement assez grand pour qu’elles viennent me voir. L’équipe m’aide beaucoup : j’étais au fond du trou, tellement fatiguée que rien que de me lever le matin c’était difficile, chaque geste était compliqué, je me voyais comme une moins que rien… et surtout je ne voyais plus mes filles. Et maintenant, grâce à cet appartement où je peux les garder avec moi la journée ou le weekend, je reprends espoir, je réapprends à vivre au jour le jour, je vois un psychologue qui m’aide pour remonter la pente, j’arrive à lutter pour m’en sortir et j’espère que je pourrai un jour retrouver la garde de mes filles. »
Sylvie*
* Les prénoms ont été modifiés pour préserver l’anonymat des personnes qui ont accepté de témoigner.
Les locataires et l’équipe professionnelle de la maison relais Quancard de Bordeaux vous remercient de votre soutien !
Un logement décoré suite au projet sur Les Petites Pierres
Le potager des Locataires

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Gachet Benoit
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Félicitation et bon courrage pour ne pas laisser ces personnes sur le bord de la route et les aider à accomplir leur vie.

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Holvoet Cottebrune Cécile
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Arsis Avocats
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Une petite pierre par participant du Triathlon Solidaire du Lac Saint Point à Pontarlier (25).

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Une petite pierre pour aider ces familles à se reconstruire. Bravo et bon courage pour que ce projet réussisse pleinement.

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ELLIAS Philippe
De l'association COS
4 408 € Collectés
Projet financé !

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Objectif financier

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